Je me perds dans l’infini…
Transgresse les rêves et l’interdit.
Le terrain n’est plus clôturé…
Sous le jardin se cache la forêt,
L’illusion tisse et étend ses voiles
De la plus solide de ses toiles.
Mon doux jardin secret
N’est donc plus ce qu’il était
Tel une tâche d’encre rouge
Qui s’éparse sous ma vouge
Il me tourmente et dévore,
La moindre parcelle de mon corps.
Je peux sentir mon sang frémir
Sous mes veines gonflées de désir…
Je fonds sous les doutes inextinguibles
De ce monde rendu invisible.
Parce que la vérité
Tout comme la destinée,
Ne sont que des créations
En perpétuelle régénération.